La position assise n'est pas naturelle à l'homme, surtout si elle se prolonge : une étude a démontré qu'en moyenne, un homme reste assis 1500 heures par ans. Le mal de dos est le mal du siècle. Le siège doit donc répondre non seulement à une position statique, mais aussi dynamique. des équipes pluridisciplinaires composées de médecins, orthopédiste, sociologues, kinésithérapeutes, psychologues, designers, fabricants spécialistes du comportement ont essayés de définir les différents critères de confort du siège de travail. En étudiant les réactions du squelette, des muscles des tendons et des disques vertébraux suivant les différentes positions, une sorte une sorte de normalisation a été établie. Elle fixe les dimensions des dossiers, des assises, des accoudoirs des piétements, de la hauteur, de la profondeur, de la courbure, de la sécurité, du balancement et des réglages. En Europe, ce sont les normes DIN 4551 et 4552.
Un dossier trop vertical peut réduire la capacité respiratoire. Une assise trop molle entrave la circulation du sang dans les jambes. Une assise trop haute donne une mauvaise position des bras et des douleurs dans les épaules.Tout a commencé par le siège de secrétaire seul a rester 8 heures de suite dans la même position. Son siège était alors le même, qu'il fasse 40 ou 80 kilos et qu'il mesure 150cm ou 170cm : il fallait donc s'adapter à la morphologie de chacun.